Ce texte est
aujourd’hui simultanément publié dans la rubrique «de blog à blog»
du journal en ligne gratuit :
lepetitjournal/istanbul
Pour ceux qui ne connaissent
pas encore La Passerelle, résumons ses objectifs en quelques mots : échanges
d'expériences dans l’interculturalité.
En effet, bien que fondée en
1995 dans le simple but de créer des liens entre les couples mixtes
franco-turcs, le projet associatif a évolué au cours des années. Au delà des
nationalités, cette passerelle a l’ambition de se tendre plutôt entre un pays, la Turquie où nous résidons pour
une durée plus ou moins longue, et deux langues de communication, le français
et le turc, dont nous maitrisons l’usage à des degrés divers. Sorties
culturelles insolites, cafés rencontres, ateliers sont les prétextes qui
réunissent les membres dans l’affinité des curiosités. Blog et journal servent
à relayer initiatives et propositions afin de faire reculer individualisme et
intolérance au profit de la solidarité et la convivialité.
Chaque expérience est unique
et ne peut prétendre s’imposer en modèle mais l’échange des vécus peut s’avérer
utile à la construction d’un parcours personnel.
Me sentir à ma place dans un
pays où j’ai choisi de vivre m’a conduit à m’impliquer davantage dans ce projet
collectif à partir de 2005. Je dois avouer que la communicative énergie de
Brigitte Devrim a fini par être convaincante et l’ambiance amicale des réunions
décisive.
Trésorière, secrétaire,
rédactrice du journal ont été mes fonctions successives et parfois cumulées au
gré des nécessités. Malgré les contraintes et la fébrilité qui ont accompagné
chaque publication trimestrielle, relever le défi d’une parution régulière et
aussi riche que possible m’a apporté beaucoup de satisfactions et quelques
encouragements. Du léger au sérieux, de l’anecdotique à l’essentiel, de
l’administratif au touristique, la bonne transmission des informations
collectées fut ma mission depuis le No 38.
Le No 63 de La Passerelle
franco-turque vient de paraître. Ce n’est pas sans une pointe d’émotion que
j’ai récupéré mon exemplaire printanier au café-rencontre de mardi, car ma
contribution active à la réalisation du journal s’arrête là… Point de suspension
plutôt que point final, je vous livre une mosaïque de couvertures,
représentative de ma participation pendant ces quelques années.
L’aventure associative n’est pas terminée. Le renouvellement du conseil d’administration est un gage de vitalité et je souhaite à la nouvelle équipe de poursuivre l’entreprise commencée par d’autres, il y a 17 ans, sans succomber aux instants inévitables de doute, parfois même de découragement. Qu’elle connaisse à son tour l’enthousiasme et la bonne humeur que j’ai eu le plaisir de partager tout au long du bout de chemin parcouru avecLa Passerelle.
L’aventure associative n’est pas terminée. Le renouvellement du conseil d’administration est un gage de vitalité et je souhaite à la nouvelle équipe de poursuivre l’entreprise commencée par d’autres, il y a 17 ans, sans succomber aux instants inévitables de doute, parfois même de découragement. Qu’elle connaisse à son tour l’enthousiasme et la bonne humeur que j’ai eu le plaisir de partager tout au long du bout de chemin parcouru avec
Dommage ! D’autant plus que le journal 64 risque de se faire désirer puisqu’aux dernières infos sa parution est suspendue, et qu’il n’y a plus beaucoup d’articles à lire sur le blog de La Passerelle. Tu ne vas pas changer d’avis ?
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